Tu voudrais te sentir vivre
Et avide de plaisir
Pour qu'enfin arrive l'extase
Oh oh de se sentir partir
Mais laisses moi lire dans tes rides, ce désespoir qui n'reste pas moins vide
Aussi vide que tes larmes limpides
Qui cache peu à peu tes rires et laisse penser au pire
Celle dont tu ne te prives plus, celle qui migre humide

C'est ce qu'on voulait…
C'est ce qu'on voulait...

Mais je sais, je te laisse absente
Loin de moi et ignorante
Pour peut-être qu'un jour moi l'épouvante
Te libères de ces branches de lierre
Mais je sais, je te laisse absente, loin de moi et ignorante
Pour peut-être qu'un jour moi l'épouvante, tour à tour,
Te libère de ces branches de lierre
Qui ne cessent et se pressent de promouvoir qu'un jour tu ne me laisses…

C'est ce qu'on voulait...
C'est ce qu'on voulait...

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