Mes parents m'ont inculqué
Une partie de ma façon de penser
Et j'ai dû apprendre et à tendre
L'oreille pour mieux juger
Avec ça j'étais prêt
A rentrer dans la vie du bon pied
Mais un obstacle s'est imposé
Devant mon nez
C'est l'homme que dirige la terre du bout des doigts de sa colère
Qui détruit tout, pollue la mer, défriche la forêt au bulldozer
A défier la mère nature
Ou l'on ne respire même plus l'air pur
L'homme est un virus, égoïste qui persiste
A croire qu'il est indispensable mais il oublie qu'il s'incruste
L'écologie n'est pas le mot d'ordre législatif
Il préfère faire cent fois une bonne guerre aux islamistes '"
De l'homme à l'animal si j'avais pu avoir le choix
Je pense et j'en suis sûr, je ne serais pas de cette race là
C'est l'homme que dirige la terre du bout des doigts de sa colère
Qui détruit tout, pollue la mer, défriche la forêt au bulldozer
Après avoir pollué les mers et les déserts
Il commence à enfouir leur merde au fond de la terre
Tout le monde shooté à l'oxyde de carbone
Il en sort des usines tous les jours des millions de tonnes
Face à ce fléau, on reste encore stoïque
Car on sait que chaque année ça leur rapporte un paquet de fric
Quand est-ce que qu'on aura le courage de s'imposer et de dire NAN!!!! !
Quand l'expression sera réelle, que les poules auront des dents
C'est l'homme que dirige la terre du bout des doigts de sa colère
Qui détruit tout, pollue la mer, défriche la forêt au bulldozer
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